L'insurgée au lycée. https://olderdarkfantasy.journalintime.com/ "Le seul rôle véritable de l'homme, né dans dans un monde absurde, [est] de vivre, d'avoir conscience de sa vie, de sa révolte, de sa liberté." Albert Camus. Salutation à tous. En 5ème j'avais débuté un journal intime sur ce site, journal qui s'intitulait "Le journal d'une insurgée" et que j'ai par la suite arrêté pour reprendre l'écriture d'un journal papier. De l'eau a coulé sous les ponts et à présent que je me trouve au lycée j'ai décidé de reprendre l'écriture d'un journal sur ce site que j'avais beaucoup apprécié. Voyez-vous, ce format là me manquait et pour la bonne santé de mon état mental, j'ai décidé de reprendre la rédaction d'un journal en ligne. L'envie de me confier (à des inconnus possédant un avis neutre) et d'être lu ne m'a jamais semblé autant vital. Je m'appelle Cécile et même mon psy en a marre de moi. Enjoy ! P.S. = Vos avis et critiques constructives sont les bienvenus. Ainsi que vos mots doux si vous le souhaitez ^^ fr 2015-09-28T15:42:00+02:00 https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Cigarette-vs-Pilule Cigarette vs Pilule. Grippales salutations à vous tous! Qui l'eut cru ? Je ne fume plus. À nouveau! Au départ C'était juste un pari entre moi et Lou. Je ne devais pas fumer pendant mes 3 mois chez mon frère. Ce fut un succès! J'ai \sur le coup/ pris la décision \très idiote/ de cesser de fumer tout bonnement. Bien sûr, j'avais depuis longtemps planifié de prendre la pilule contraceptive pour plus de sûreté lors de nos rapport avec mon chéri. Lorsque mon médecin m'a demandé si je fumais, j'ai bien sûr répondu que j'avais arrêté. Parfait ! Voilà ce qu'il a dit. Ça n'est pas parfait! C'est Grippales salutations à vous tous !

Qui l’eut cru ? Je ne fume plus. À nouveau ! Au départ C’était juste un pari entre moi et Lou. Je ne devais pas fumer pendant mes 3 mois chez mon frère. Ce fut un succès ! J’ai \sur le coup/ pris la décision \très idiote/ de cesser de fumer tout bonnement.
Bien sûr, j’avais depuis longtemps planifié de prendre la pilule contraceptive pour plus de sûreté lors de nos rapport avec mon chéri. Lorsque mon médecin m’a demandé si je fumais, j’ai bien sûr répondu que j’avais arrêté. Parfait ! Voilà ce qu’il a dit. Ça n’est pas parfait ! C’est soit je fume et Lou et moi on fait encore des conneries impulsives lorsqu’on est en rade de capotes, soit je cesse de prendre du plaisir en fumant et j’assure la sérénité de mon couple.

Le choix est vite fait.

Mais j’ai toujours envie de fumer…

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2015-09-28T15:42:00+02:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Mon-amour-pour-la-femme-qui-ne-me-connait-pas Mon amour pour la femme qui ne me connaît pas. Salutations, amis littéraires. Il y avait un livre dans mes valises en route vers l'appart' de mon très cher frère ("dieu", je sais pas lequel, sait qu'on s'aime) et ce livre est d’Amélie Nothomb. Il faut croire qu'un seul de ses livres ne m'est jamais suffisant car je n'ai put me retenir de compléter ma bibliothèque de ses écrits, au point ou je ne sais comment ramener tout ce papier chez moi. Hier encore je suis descendue à Paris et en son cœur j'ai longé la Seine, questionnant chaque bouquinistes sur leurs réserves en Nothomb. Ma soif d'elle est intarissable et je peux sans Salutations, amis littéraires.

Il y avait un livre dans mes valises en route vers l’appart' de mon très cher frère ("dieu", je sais pas lequel, sait qu’on s’aime) et ce livre est d’Amélie Nothomb. Il faut croire qu’un seul de ses livres ne m’est jamais suffisant car je n’ai put me retenir de compléter ma bibliothèque de ses écrits, au point ou je ne sais comment ramener tout ce papier chez moi. Hier encore je suis descendue à Paris et en son cœur j’ai longé la Seine, questionnant chaque bouquinistes sur leurs réserves en Nothomb. Ma soif d’elle est intarissable et je peux sans honte dire que je suis amoureuse de la femme que j’ai imaginé derrière l’auteur que j’ai découverte à travers des mots.

L’an dernier, un stage nous était imposé et de par ma nature -je parle de celle qui fait que je m’y prend toujours à la dernière minute- je me retrouvai dans une librairie/papeterie à ranger le magasin, classer des commandes, étiqueter des articles -il n’y eu plus après ma formation une personne plus apte que moi à utiliser une arme telle que l’étiqueteuse, j’en étais devenue une professionnelle- et surtout,... l’opium du stagiaire… faire des photocopies. Nothomb elle-même comprend ma douleur en matière de photocopies. Dans cette petite librairie se trouvait des classiques destinés aux lycéens de l’établissement face à elle -le sors a voulu que l’on m’y inscrivit par la suite- et parmis ces classiques se trouvait un livre, le premier que je lu de ma maîtresse. "Hygiène de l’assassin" vint à moi naturellement, parmis tout ces livres aux titres pompeux d’auteurs classiques de la littérature française, il me chuchota qu’il n’était pas à sa place et rien n’était plus vrai. Mes temps de pause se passait donc dans un coin du magasin à dévorer cette absynthe. Son style me plût dès lors et je le terminai en une après-midi.

Il fut une époque où je plaçais Jane Austen en très haute estime au point de s’inspirer de son style pour façonner le mien. Elle était une source d’inspiration pour moi et un modèle, car une femme de son époque qui écrit ne pouvait m’inspirer un profond respect. Après avoir lu Nothomb, je compris que bien tout le respect que je lui tenais, elle n’étais encore qu’une femme et écrivais comme une femme, laissant son coeur et ses émotions parler dans une poésie en prose. C’est beau. C’est comme lire de l’eau. C’est très féminin, sans qu’on ne s’en rende compte c’est très différent de ce qu’un homme peut écrire. Ce n’est pas moi. Les hommes ne ressentent pas comme les femmes et n’ont pas comme les auteures ce romantisme niais qui souvent nous fait passer à côté de l’histoire elle-même et qui, pour ma part, manque d’originalité et m’ennuis plus qu’autre chose. Attention, je ne dis pas qu’Austen m’ait illisible; elle est bien la seule femme que je lis et avec envie.

Nothomb n’est pas ainsi. Au diable Rowling dont sa seule imagination en fait une auteure, Cabot et ses ados, Aurore Dupin et ses marées endiablés, ... Je les ai aimées et en apprécie encore quelques-unes, mais Nothomb fut la première qui me prouva qu’une femme pouvait écrire en insufflant dans textes une pensée et une réflexion et c’est elle qui m’ouvrit un univers dont je n’avais pas idée, où la littérature était engagée. Ce fut ma jouissance : me retrouver dans des auteurs à travers des textes.

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2015-07-20T12:53:00+02:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Heart-s-Crusher Hearts Crusher Douces Salutations à tous. Ce soir, je n'irais pas par quatre chemins, je serais crûe, parce que c'est le seul moyen de parler de ma vie à présent, parce que ma vie est brute et crûe. Mon dernier écrit date de début janvier et énormément de choses se sont produites durant ce laps de temps, bonnes et mauvaises. J'ai fait des conneries, et encore une fois par envie, par besoin, d'adrénaline et d'excitation, j'ai testé certaines choses, faite des expériences plus ou moins acceptables ou choquantes. Oui, j'ai couché avec mon meilleur ami. Oui, j'ai aimé, mais bof' sans plus.Non, Douces Salutations à tous.

Ce soir, je n’irais pas par quatre chemins, je serais crûe, parce que c’est le seul moyen de parler de ma vie à présent, parce que ma vie est brute et crûe. Mon dernier écrit date de début janvier et énormément de choses se sont produites durant ce laps de temps, bonnes et mauvaises.

J’ai fait des conneries, et encore une fois par envie, par besoin, d’adrénaline et d’excitation, j’ai testé certaines choses, faite des expériences plus ou moins acceptables ou choquantes. Oui, j’ai couché avec mon meilleur ami. Oui, j’ai aimé, mais bof' sans plus.Non, je n’ai rien dit à personne parce que ça fait parti des choses de mon intimité que je souhaite garder pour moi comme une chose à moi et rien qu’à moi, car ce sont des moments qui m’appartiennent et que je ne souhaite pas partager. Oui, nous étions SexFriends. Oui, j’ai vécu ma vie, et je la vis encore avec spontanéité, passion et accomplissement de mes désirs et fantasmes. Oui, nous avions une relation secrète; nous nous échangions des sextos et nous donnions rendez-vous comme deux amants poursuivis par les mœurs sous la prohibition. Non, nous ne nous aimions pas, nous étions amis. Non, je n’ai rien dit à Mars (une camarade très proche) lorsqu’elle s’est mise à sortir avec lui. Oui, tout était finit entre nous à ce moment là; j’ai tout stopper lorsque j’ai su qu’elle l’aimait. "Non, je ferai jamais ça à Mars", voilà ce que je lui ai répondue lorsqu’il a proposé que notre relation ne change en rien malgré ses obligations auprès de mon amie. ... Voilà, je trouve avoir été juste, surtout envers Mars; il aurait put la tromper avec moi, mais non, je me suis enfuis de son emprise lorsqu’elle s’est mise à ressentir un soupçon de sentiments pour lui et qu’elle me l’a confié.
Par la suite, et ça nous ramène au début du mois de février, je me suis mise à voir les choses très différemment. "L’amour n’existe pas, ce n’est qu’une attirance physique et chimique réciproque entre deux individus et qui a pour but la reproduction et la prolifération de l’espèce. L’âme sœur n’est qu’un songe, dans la vie réelle on se contente juste de trouver une personne plus ou moins semblable à soi et on la supporte au mieux jusqu’à la fin.", me disais-je alors. Pessimiste, je l’étais. Morte ? Toujours sous la surface. Blasée ? Comme jamais auparavant. Et c’est à partir de là que je me suis mise à considérer un de mes amis… Il était (et est toujours) roux (comme je les aime, parce que je suis fan des roux ou rousses), métaleux comme moi, fumeur comme moi, grand, très grand, costaux bien que ce ne soit pas ma préférence, et surtout très gentil. Il était célibataire depuis toujours, bien qu’il soit plus âgé que moi il n’avait aucune expérience de l’amour peu importe sa forme. Peut-être avais-je pitié de lui, ou me sentais-je l’âme généreuse ? Il m’a très vite faite comprendre l’étendu des sentiments qu’il avait pour moi. De mon côté, disons que mon coeur ne battais pas (pas le moins du monde et j’aurais voulu le forcer à battre) mais que je prenais en considération la possibilité, ne serait-ce que sortir avec lui et peut-être m’ennuyer auprès de lui jusqu’à mon dernier souffle. J’étais lasse de la vie et je me disais être sûre de ne plus jamais rien ressentir de violent et de puissant comme sentiment. Je pensais m’accommoder de lui, et si je le l’aimais pas comme Juliette pour Roméo, peut-être pouvais-je au moins l’estimer et l’aimer d’une autre manière, sans passion et sans vitalité.

Et c’est à ce moment là que les choses se mirent à aller vite. Le Rouquin métalleux me draguait, Mars me parlait de son sex-addict de copain qui ne l’aimait pas, mon frère Antoine était de retour dans notre foyer pour deux semaines et j’avais de longues discutions avec Lou, des discutions qui me stimulaient et me passionnaient. Les choses s’organisaient si bien qu’elles en furent comiques. Un soir chez mon père, Mars se mit à se plaindre de son addict, Rouquin me parlait de notre possible futur à deux et je tentais de lui donner un semblant d’attention, Antoine et daddy discutaient froidement, et je commençai à me livrer à Lou sur ma pensée philosophique. Je jonglais habillement entre l’univers réel et les conversations en ligne avec tout ce petit monde. Le plus drôle fut que bien vite je n’avais d’intérêt que pour Lou et nos raisonnements; la conversation était stimulante et je me délaissais du Rouquin au profit d’un inconnu.
Rouquin m’a invité à sortir. Plusieurs fois donc j’ai fini par accepter.
J’ai embrassé Rouquin. Allez savoir pourquoi… Je cherchais un peu d’adrénaline.
Je suis devenue sa copine. On en arrive à début mars à présent...
Lou et moi on se rapprochais et on se trouvais de plus en plus de points communs. Un soir il s’est passé quelque chose d’étrange ... J’ai senti mon cœur battre dans ma poitrine.

"J’ai senti mon coeur battre dans ma poitrine hier soir. Je l’ai senti pour de vrai;son poids me pesait dans mon lit. Et je souriais, je riais aux éclats; faut croire que j’avais retrouvé espoir. L’autre attendait, voulait de moi; tu étais le seul qui comptait dans ma vie. Je l’ai ignoré toute la soirée, il n’a même pas remarqué ma froideur. C’est comme si je le trompais, comme si nous étions amants. Le temps s’écoulait agréablement, l’amour naissant au fil des heures. Trop vite le sommeil me gagna; dans mes songes tu étais le seul présent. Lui, qui m’aime, n’existait plus et je l’oubliais en m’endormant, Mais toi, tu occupais toutes mes pensées, toi dont je ne sais rien des sentiments. Tu emplissait mon monde… "

Voilà ce que j’ai écrit dès le lendemain. Il faut bien comprendre que c’était nouveau pour moi et franchement inhabituel ! Nouveau… Du moins ça me paraissait l’être; j’avais depuis si longtemps oublié ce que cela faisait de ressentir quelque chose.
Mais voilà, comme rien n’est jamais facile il a fallu que je me mettes à ressentir un doux sentiment pour un homme d’ors et déjà pris et épris d’une autre (ou du moins je le pensais) mais par pure principe j’ai quitté le Rouquin me rendant bien compte que je ne m’accommoderai jamais de lui.
Comme par hasard, Lou quitta sa copine le même jour. Paraît-il, il ne l’aimais pas et son cœur était de pierre… Ce même jour on l’on s’était retrouvés à discuter seul à seul durant la pause méridienne. Rien de bien méchant mais nous avons échangé sur divers sujet et il m’a touchée. On s’est rapproché… J’avais toujours rêvé d’entendre ou de lire ces mots de la part de quelqu’un, et lui les sortais naturellement.

Un mardi, il m’a proposée qu’on se voit pour se promener dans la ville et je me sentais tellement bien ... pour la première fois de ma vie.

Il s’est ouvert à moi comme moi je me suis ouverte à lui et c’est tout ce que j’avais toujours voulu !

Deux coeurs brisés me paraissent peu chère payé pour tout ce bonheur. Maintenant je passe pour une briseuse de couple et une garce. Maintenant j’ai plus de personnes qui me déteste qu’avant mais j’en ai rien a foutre ; je vis pas pour les gens ou pour leur plaire.

Et maintenant je suis heureuse… et comblée ... et ravie… Amoureuse

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2015-04-07T17:47:00+02:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Smoking-in-the-rain "Smoking in the rain" Salutations bien trempés ! Aujourd'hui, il pleut. Il pleut. J'aime la pluie donc tout va pour le mieux. J'ai une passionnante et spontanée envie d'aller courir, de courir loin, de partir à l'aventure, de rejoindre mon berceau la nature et de sentir sur moi les biens faits de l'averse salvatrice. Les vacances se prolongent pour moi, étant donné que je vis à la Réunion les cours ne reprennent que le 29 janvier et un peu de tranquillité me fait du bien, un peu de solitude. La dernière fois que j'ai parlé à quelqu'un d'autre qu'un membre de ma famille c'était très exactement le 20 Salutations bien trempés !

Aujourd’hui, il pleut. Il pleut. J’aime la pluie donc tout va pour le mieux. J’ai une passionnante et spontanée envie d’aller courir, de courir loin, de partir à l’aventure, de rejoindre mon berceau la nature et de sentir sur moi les biens faits de l’averse salvatrice. Les vacances se prolongent pour moi, étant donné que je vis à la Réunion les cours ne reprennent que le 29 janvier et un peu de tranquillité me fait du bien, un peu de solitude. La dernière fois que j’ai parlé à quelqu’un d’autre qu’un membre de ma famille c’était très exactement le 20 janvier soit presque 3 semaines. Ça fait du bien de vivre un peu recluse et loin de toute l’agitation de la population. Je n’ai envie de voir personne. J’ai besoin de rester seule. Je suis associable, mais je me soigne… enfin, je crois.

Ma mère s’est inquiétée pour moi ce matin. Oui, alors que les médias nous rabâchait au sujet des deux opérations spéciales en cours pour coincer les terroristes coupables de l’attentat au Charlie Hebdo ("Je suis Charlie". Espérons que la bêtise humaine s’arrête sur ses 11 morts.) j’ai demandé à aller faire un tour. Sous une pluie diluvienne. Une pluie digne de la saison cyclonique. J’ai saisi un carnet et un stylo, les ai fourrés dans ma besace; mon paquet de Lucky’s s’y ait vite invité. J’étais toujours en pyjama mais peu importe, personne ne le saura sous mon manteau et mon imper', me disais-je, et je suis donc partie en promenade. Ma petite promenade. Et sur ma route incertaine, tout les regards se tournaient vers, emprisonnés derrière les vitres teintées des automobiles, enfermés en sécurité, et puis il avait moi et mon âme trempée. Ma solitude et ma liberté. Un coin tranquille et une savoureuse cigarette… Le gris du ciel et le rouge de mes pommettes frigorifiées. Je suis partie et j’ai vécue.

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2015-01-09T18:31:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/This-Christmas-I-ll-burn-it-to-the-ground This Christmas (I'll burn it to the ground) "I'm a cat, I'm a fucking cat" pensée absurde de ce jour. Merry X-mas Everybody. Sans être le Grinch, je suis tout de même atteinte de nausées à l'approche de Noël... C'est tout... "I’m a cat, I’m a fucking cat" pensée absurde de ce jour.

Merry X-mas Everybody.

Sans être le Grinch, je suis tout de même atteinte de nausées à l’approche de Noël…

C’est tout…

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2014-12-24T21:51:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/White-Trash White Trash. Dark Salutations everybody :D J'aime les pommes de terre, pas vous ? C'est délicieux ! Bref, passons. N'avez-vous jamais eut envie (juste une énorme envie) d'être camée jusqu'à l'os? Parce que moi oui. Là, tout de suite ça me ferait du bien d'être droguée à autre chose que ce que me propose la société soporifique dans laquelle je me dois de vivre. Ça me ferait du bien de m'oublier, de ne plus penser à mon existence banale et de me laisser voguer sur des tsunamis de plaisir sans fin. Juste une fois, une fois seulement mais une longue fois, aussi longue que ma vie. Dark Salutations everybody :D

J’aime les pommes de terre, pas vous ? C’est délicieux !

Bref, passons. N’avez-vous jamais eut envie (juste une énorme envie) d’être camée jusqu’à l’os ? Parce que moi oui. Là, tout de suite ça me ferait du bien d’être droguée à autre chose que ce que me propose la société soporifique dans laquelle je me dois de vivre. Ça me ferait du bien de m’oublier, de ne plus penser à mon existence banale et de me laisser voguer sur des tsunamis de plaisir sans fin. Juste une fois, une fois seulement mais une longue fois, aussi longue que ma vie.
"Mais c’est gâcher sa vie ça?"
Et ?

"Mais penses à ton avenir."
Quel avenir ? Peut-être que je n’en aurais pas. Je pourrais très bien mourir demain comme je pourrais mourir le siècle prochain.

"Mais penses à ce que tu laisseras de toi après ta mort."

Rien, voilà. Et vous, que laisserez-vous après votre court passage sur Terre ? Un nom ? Une descendance ? Ce que vous avez accomplit ? Et ? Quelle importance ça a tout ça ? Certes, les Hommes se souviendront de vous, pendant un temps plus ou moins long en fonction de ce que vous avez accomplit, de l’importance qu’à eut votre vie, de l’impact qu’elle eut sur la vie d’autrui et sur l’humanité. Mais le jour où l’humanité s’éteindra (car s’en sera fini de nous un jour où l’autre) votre souvenir s’effacera avec elle. Que restera-t-il de vous ? Rien. Alors quelle importance que vous réussissiez ou non ? Qu’on se souvienne de vous ou non ? Et puis quel mal y a-t-il à tomber dans l’oubli une fois mort ? Cela affecte-t-il votre vie passée, ou change-t-il le cours des choses ?

Je ne comprends décidément pas d’où vient cette peur que l’Homme a de ne pas survivre (dans la mémoire) une fois décédé. Peut-être sommes-nous en quelque sorte en quête d’éternité ? Oui, c’est sûrement cela. Nous cherchons l’immortalité en voulant que notre souvenir reste gravé dans la mémoire de ceux qui vivent encore.

Cela explique bien des choses… Comme le concept de vie après la mort par exemple. Je crois enfin comprendre pourquoi les croyants cherchent à se rassurer en pensant s’envoler vers un univers paradisiaque où l’éternité et l’amour de ceux que vous avez connus vous attend après votre mort.

Mais je ne comprend pas pourquoi l’humanité s’alourdi du poids de l’existence, ou plutôt de l’existence que la société nous force à adopter. La morale, les mœurs, la pensée générale et les jugements nous condamnent à vivre comme elles souhaitent nous voir vivre, selon le modèle préconçu. Il serait pourtant si simple de vivre pour soi, en se contrefichant de l’avis des autres ! Mais nous vivons en société…

Je crois que je vais soit finir ermite, soit à l’hosto' en tant qu’aliénée, soit morte,... mais mais dans tout les cas, je ne prendrai pas part à cette horreur qui dénaturalise la vie et et que je méprise. Je finirai coupée du monde…

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2014-12-07T17:53:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Les-bacheuses "Les bâcheuses" Salutations made in Reunion à tous :) Chez moi on ne dit pas "sécher les cours'' mais bel et bien "bâcher les cours" et ceux qui s'osent à cette pratique sont appelés les "bâcheurs" ou "bâcheuses" comme Betty et moi ;) Rien n'était prévu et je n'ai jamais voulu mêler Betty (ma petite protégée désormais) à ma décadence. Vendredi, je me suis levée, j'ai éteint l'alarme de mon téléphone, j'ai reposé ma tête lourde sur le moelleux de mon oreiller et je me suis lentement replongée dans le royaume de mes songes. Que voulez-vous, nous étions vendredi. Vendredi, dernier Salutations made in Reunion à tous :)

Chez moi on ne dit pas "sécher les cours'' mais bel et bien "bâcher les cours" et ceux qui s’osent à cette pratique sont appelés les "bâcheurs" ou "bâcheuses" comme Betty et moi ;)

Rien n’était prévu et je n’ai jamais voulu mêler Betty (ma petite protégée désormais) à ma décadence.

Vendredi, je me suis levée, j’ai éteint l’alarme de mon téléphone, j’ai reposé ma tête lourde sur le moelleux de mon oreiller et je me suis lentement replongée dans le royaume de mes songes. Que voulez-vous, nous étions vendredi. Vendredi, dernier jour de labeur et ses désastres. Il faut savoir que tout me décourageait à la perspective de cette journée : mon cours de math et les exercices que je n’avais pas fait; mes deux heures de D.N.L. sport (européenne sport, en anglais of course) que je ne souhaitais le moins du monde étant donné mon niveau catastrophique en E.P.S; mes deux heures de latin (avant j’aimais le latin, mais ça c’était avant… avant un certain professeur qui ne semble pas connaître le mot "pédagogie"); et puis LUI draguant d’autres sous mon regard (je ne peux plus supporter ce spectacle).
Certes, je me suis créée cette situation peu confortable dans laquelle je me trouve : j’aurais dut faire mes devoirs, j’aurais put arrêter l’étude de la langue et de la civilisation latine, j’aurais put ne pas partir et ne pas le laisser partir, et si je n’avais pas eut de "soucis de compréhension" avec ma professeure de science nat', j’aurais put faire de la biologie en section européenne ce trimestre. Mais tout cela, je ne le regrette pas, pas vraiment, et je me dis que j’ai bien fais, pour moi, pour ma santé mental et mon bien-être.

Je suis donc restée dans mon lit avec la ferme intention d’y passer la journée et le restant de ma vie si possible. C’était sans compter sur ma mère qui, inquiète, s’est décidée à appeler mon père après avoir tenté tout ce qui était en son pouvoir pour me faire bouger. Daddy, celui à qui appartient mon cœur et cela à jamais, mon confident, mon complice, celui qui me soutient peu importe la situation et qui me comprend mieux que personne, a menacé de me renier si je n’allais pas au lycée et m’a raccrochée au nez avec fureur.

Vendredi, à l’heure où les cours débute, alors qu’à l’autre bout de la ville mes camarades se dirigeaient vers leurs salles de cours respectifs, je me suis levée, j’ai traîné mon corps jusque la salle de bain et je me suis laissée à pleurer de désespoir, l’eau emportant au loin mes maux. Mon corps luttait contre ma volonté de partir au lycée afin de satisfaire mon amour de père. C’était contre tout ce que je défendais de faire cela : je ne vis pas pour les autres ou les satisfaire.

Je suis arrivée (of course) en plein milieu du cours de français avec une bonne demie-heure de retard. Je me suis assise pour écouter mon professeur débiter son cours tel un automate et j’ai alors pensé à Camus, à "L’étranger", à l’existentialisme qui en ressort malgré tout, et je me suis alors dit que je ne pouvais décidément pas rester là tel une brebis parmi tant d’autres, attendant pour l’abattoir.
L’heure s’est terminée et les deux suivantes se sont écoulées plus vite que je ne le souhaitais. Je me suis bien trop vite retrouvée à devoir me rendre en ce fameux cours de sport, mais… "Non ! Et puis non ! Je ne suis décidément pas assez forte pour supporter ça!", me suis-je dis. Rester deux longues heures en compagnie de personnes douées en sport et devoir supporter les railleries et leur regard accusateur est hors de ma portée. "Mais qu’est-ce qu’elle fait là, elle ? Elle voit pas qu’elle est de trop?" Je suis tout à fait d’accord, là n’est pas ma place. Alors je suis partie, tout simplement.

Betty n’avait pas cours, alors je l’ai suivit et nous sommes parties manger une crêpe^^ Le réconfort avant tout. Tout se passait bien, j’étais enfin détendue, libre, et heureuse. Et c’est tout ce que je demandais ce vendredi matin là. Un peu de paix. Qu’on me laisse en paix. Je mangeais (oui, il arrive que je cède à la faim), je rigolais, je respirais, enfin.
Mars est arrivée, c’était étrange; elle et moi étions censées avoir cours ensembles. Non, je n’avais rien bâché finalement; il s’est avéré que mon professeur était absent. Quel dommage.
Mars s’est sauvée chez elle, nous abandonnant Betty et moi à notre folie.

Notre en-cas achevé, nous nous sommes rendues au parc, en face de l’établissement dans lequel j’avais été si heureuse durant mes 5 années à l’école élémentaire. Où du moins, je pense l’avoir été, heureuse. A l’ombre d’un arbre, la chaleur de ce début d’été austral devenait supportable et l’air était bon et frais.

Les choses me paraissaient tout d’un coup plus faciles. Vivre, c’est facile. C’est nous qui nous rendons la vie difficile, me disais-je. Je me suis mise à fumer, devant Betty qui lorgnait sur ma cigarette. Je ne lui en ai pas proposé, pas par impolitesse, mais par conviction; je ne fais pas fumer les autres or-mis les fumeurs comme moi qui on perdu le compte des paquets consommés. Mais elle continuait à me fixer. Toujours.

Nous avons parlé de choses et d’autres, de la vie, du cycle étourdissant dans lequel nous vivions et de notre incapacité à nous en libérer. J’en ai appris bien des choses sur Betty ce jour là, sur sa famille et ses origines; je me suis donc confiée quelque peu à elle. J’appréciais cette échange entre nous à cette instant, cette connexion entre elle et moi, entre deux êtres humains. Je l’estimais de plus en plus cette petite Betty, petite et fragile, mais malgré sa jeunesse elle connaissait déjà la vie, elle en connaissait trop. Betty, enfant de l’an 2000, plongée trop tôt dans le monde, forcée d’avancer au rythme infernal que lui impose ses parents, forcée d’être la plus jeune de sa classe après avoir sautée une classe. C’était ma petite "Pépite" à moi; elle me rappelait tellement la Lou Bertignac de No et Moi. Et dans un sens, elle me faisait penser à une autre petite fille, elle aussi perdue dans le monde qu’elle cherchait à comprendre, qui se cherchait tant bien que mal, qui rêvait beaucoup, qui rêve toujours. Oui, elle me faisait penser à cette autre petite fille que j’étais. Une autre époque, une vie, une autre fille. Je ne suis plus la même.

Mais Betty me regardais toujours fumer, car je fumais encore et toujours, sans m’arrêter. Elle a fini par m’en demandais une et j’ai bien sûr refusé, mais elle m’a raconté que se ne serait pas sa première, qu’elle avait déjà fumé une fois avec son copain il y a bien longtemps et qu’elle en avis plus que tout, que se serait pour elle une expérience comme une autre. J’ai alors pensé à cette petite fille que j’étais, avec personne pour la guider lorsque j’ai commencé à fumer et à mon envie que j’avais moi aussi de faire des expériences et de tout tester pour être sûr de ne pas mourir idiote. Betty me trouve vivante, elle m’admire pour avoir eut le courage d’expérimenter la vie. Sûr, que des expériences, j’en ai faite, trop peut-être. J’ai pensé à tout cela, j’ai cédé et je l’ai observée fumer sa première vrai cigarette, la sienne, pas une ou deux taffes sur celle d’un autre. Malgré ma conscience qui me tourmentait j’avais une sorte de fierté fraternelle à la voir fumer, comme une grande sœur verrait sa cadette le faire et se rendre compte qu’elle a grandit.

Betty a appréciait sa cigarette et s’en ait arrêté là. Moi j’ai fumer jusqu’à midi, jusqu’à ce que se pose la question de rentrer ou non, d’aller supporter deux heures soporifiques de latin ou non. Nous avons longtemps hésité, abandonné l’idée pour ensuite la reprendre, avant de nous décider définitivement à ne pas bouger de là où nous nous trouvions.

Et nous sommes restées là. J’ai fumé tout l’après-midi. Nous avons joué. Nous avons discuté. Nous avons ri, et ri de plus belle. Nous sommes retombées en enfance et un peu d’insouciance me fit le plus grand bien. Un peu d’insouciance et de folie.

Les répercutions qu’aurait cette écart ne nous préoccupaient guère, et de toute manière rien ne nous a été reproché. Nous étions juste bien pour un temps et cela, ça vaut tout les cours de latin du monde.

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2014-11-23T15:50:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Je-me-leve-et-je-prend-des-pilules-pour-dormir-Saez "Je me lève et je prend des pilules pour dormir" - Saez Et moi je me lève pour me rendormir, que se soit dans mon lit ou dans une salle de classe bondée où on cerveau non-stimulé se rendort progressivement. Sleepy Salutations everybody ! Je vous écris de mon lit parce que j'ai trop (disons-le) la flemme. La flemme de quoi? La flemme de tout et n'importe quoi! Je ne trouve plus de sens à ce que je fais, à ce que je vis, au quotidien que je subis. Et, bien sûr, comme je ne trouve plus de sens à ma vie, ben... j'la met un peu en pause Et moi je me lève pour me rendormir, que se soit dans mon lit ou dans une salle de classe bondée où on cerveau non-stimulé se rendort progressivement.

Sleepy Salutations everybody !

Je vous écris de mon lit parce que j’ai trop (disons-le) la flemme. La flemme de quoi ? La flemme de tout et n’importe quoi ! Je ne trouve plus de sens à ce que je fais, à ce que je vis, au quotidien que je subis. Et, bien sûr, comme je ne trouve plus de sens à ma vie, ben… j’la met un peu en pause

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2014-11-18T14:56:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Sweet-Adeline-you-re-the-flower-of-my-heart Sweet Adeline, you're the flower of my heart. Douces Salutations à tous :3 Aujourd'hui ça risque d'être long mais c'est sûrement l'une de mes plus belles histoires de cœur :3 Il faut savoir qu'en tant que jeune fille qui se revendique féministe, il m'arrive souvent de critiquer la gente masculine et de trouver que leur vie est plus facile que celle d'un femme. Bien, je dois avouer qu'à présent je les plains (en quelque sorte). J'avais toujours pensé qu'ils avaient tort de se plaindre de nous (je me trouve plutôt facile à vivre et c'est de même pour mes amies) et de leurs difficultés à nous séduire, mais Douces Salutations à tous :3 Aujourd’hui ça risque d’être long mais c’est sûrement l’une de mes plus belles histoires de cœur :3

Il faut savoir qu’en tant que jeune fille qui se revendique féministe, il m’arrive souvent de critiquer la gente masculine et de trouver que leur vie est plus facile que celle d’un femme. Bien, je dois avouer qu’à présent je les plains (en quelque sorte). J’avais toujours pensé qu’ils avaient tort de se plaindre de nous (je me trouve plutôt facile à vivre et c’est de même pour mes amies) et de leurs difficultés à nous séduire, mais après j’ai rencontré Adeline. Messieurs, je dois (bien malgré moi) avouer qu’il n’y RIEN de plus compliqué à comprendre qu’une fille/femme ! Et pourtant, voyez-vous, j’en suis tombée amoureuse, moi, d’une fille.

Je me suis toujours considérée comme étant ouverte d’esprit et afin de ne pas me fermer de portes et de ne rater aucune opportunités, je me suis toujours considérée (en quelque sorte) comme bisexuelle. Bien sûr, ce n’est pas quelque chose qui m’est venue du jour au lendemain mais au fur et à mesure je me suis rendue compte que j’étais attirée par les femmes et que j’avais envie de les aimer. Je suis d’ailleurs convaincue que je suis capable de donner plus d’amour à une fille, qu’un homme ne puisse le faire ;).

Anyway ! Un fameux Mardi 08 juillet 2014 (je m’en souviens encore très bien), je venais de recevoir mes résultat au brevet et j’étais invitée à une fête nocturne chez une amie afin célébrer cela. Je ne connaissais personne à cette soirée, ce qui aurait put me convaincre de ne pas y aller, et pourtant le destin m’y a poussé. Je sentais que quelque chose de gros, de fort, d’important m’y attendait.
Pendant que je me préparais je ne cessais de rêver, de me faire des idées. J’étais célibataire, j’étais sûr de rencontrer quelqu’un ce soir-là, un garçon. Je suis arrivée la première, j’ai donc aidé aux préparatifs et je me suis retrouvée dans la cuisine. C’est par là qu’elle est entrée; grande sans trop l’être, brune, sa longue chevelure ondulée libre dans son dos, son petit top vert au-dessus d’une petite jupe fleurie à volant, ses sandalettes aux pieds, un trait d’eye-liner parfait autour de ses yeux noisettes, un petit nez mutin qui me plût de suite, ... Je me souviens de tout. Pour moi le temps est restée figée pendant tout le temps où je l’admirais, et lorsqu’il reprit son court, allez savoir comment mais je me suis retrouvée face à elle à me présenter. Je suis toujours aussi surprise d’avoir eut cette audace, moi qui suis habituellement si réservée, timide et associable, voilà que je me retrouve face à cette divinité étrangère à ma vie mais d’ors et déjà pas à mon cœur. Elle s’est légèrement penchée pour me faire la bise, s’est présentée comme étant une Adeline et est passée devant moi pour rejoindre son amie (l’hôte de la soirée) dans mon dos. Je suis restée figée là quelques temps avant de sortir saluer les autres invités et me présenter. Grâce à elle j’avais soudain confiance en moi et tout me semblait possible.
La soirée fut délicieuse et je fis des rencontres qui à jamais auront un impact sur ma vie (je pense en particulier à Cyril, mon dieux poète et amoureux des hommes). Je ne pouvais m’empêcher de l’observer et il me semblait qu’elle faisait de même avec moi. On passait notre temps à se regarder, à la dérobé ou les yeux dans les yeux. Bon, je vous épargne les détails, sachez juste que sa présence m’a marquée et le soir même, seule entre mes draps, je me promis une chose : la retrouver et faire d’elle mienne.

Le lendemain même, je racontai toute cette folle histoire à mes amis. Elle emplissait mes pensées in-extenso.

Merci FB, je l’ai vite retrouvée et me suis mise à discuter avec elle. Nous nous sommes trouvées plusieurs points communs, dont notre amour pour la langue anglaise (d’ailleurs, depuis, nous discutons en anglais). Je lui faisait clairement la cour et il semblait qu’elle m’appréciait. Je l’ai même invitée au cinéma, malheureusement un contre-temps nous a fait annulé nos plans :/ mais elle était tout de même ravie de m’accompagner et elle m’avait dit oui :D. Et c’est là que j’en reviens à cette histoire de difficultés qu’on peut avoir lorsque l’on drague une fille (qu’on soit fille ou garçon). C’est fou le stresse qu’on a lorsqu’on invite une fille à sortir ! Bon sang ! Je dois bien le reconnaître, j’avais peur comme jamais et le cœur qui battait à infinité à l’heure…

Chaque jours, chaque soirs, je me connectais au réseaux social qui nous unissait afin de lui parler et j’adorais ça; elle aussi. On se donnait des petits noms doux (sweety et honey :3), on se disait des choses tendres, on parlait de tout et de n’importe quoi, et moi je l’aimais tant… J’avais trop peur, j’étais trop timide, pour lui demander d’être mienne. J’ai fini par en parler à Cyril. Je lui serais à jamais reconnaissante, malgré tout… La vérité peut être horrible, meurtrière, mais il faut l’affronter.
C’est comme ça que j’ai appris qu’elle était amoureuse, et d’un garçon qui plus est. La fille que j’aime est amoureuse d’un garçon.
Dès ce moment, je me suis dis que je devais prendre mes distances, l’oublier peu à peu… Elle et son Lucas se sont mis en couple. J’ai rencontré Despe :3 (je l’aimais vraiment lui) et on a été heureux lui et moi, jusqu’à ce qu’il se désintéresse peu à peu de moi. Et c’est exactement à cette période là, -alors que je n’avais plus aucune nouvelle de mon présumé copain- que je l’ai revue. Je faisait mes courses dans la ville voisine de la mienne car j’étais en week-end chez mon père. J’étais sapée comme un sac (excusez l’expression), absolument pas coiffée et maquillée de mon trait d’eye-liner de la vieille (tout dégoulinant mais toujours présent pour cause d’absence de démaquillant chez mon père). J’aurais préféré qu’elle ne me vît pas, mais rien ne se passe jamais comme je le souhaite. Avez-vous déjà vu un ange ? Moi oui ! Elle est venue vers moi, m’a embrassée (non, pas comme je le souhaitais) et m’a parlée sans que je ne comprenne réellement ce qui se passait. Je me suis entendue lui répondre et même rigoler avec elle, et pourtant… tout mon équilibre venait de basculer au simple son de sa voix. Son souffle chaud venait de refaire naître en moi les sentiments que j’avais pour elle.
J’ai quitté Desperado. (de toute manière je ne crois pas qu’il m’aimait encore)
J’ai repris ma vie en main après l’avoir oublié pour lui.
J’ai repensé à elle, sans oser lui reparler.
J’ai rêver d’elle.
Je me suis mise à espérer pour elle.
Je me suis à nouveau imaginé auprès d’elle… en oubliant quelque peu qu’un autre occupe déjà cette place.
Elle est mon adrénaline, celle qui me maintient en vie. ...Adrénaline, tel est son nom.

Si je vous ai raconté toute cette histoire, c’est qu’aujourd’hui j’ai enfin trouvé le courage de lui envoyer un message, tout en mettant mon cœur en périple.

Je lui ai envoyé un message…

A suivre.

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2014-11-16T17:41:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Le-retour-de-la-cigarette-au-bec Le retour de la cigarette au bec. "Fumer est un plaisir. Mon budget est serré; mon envie, illimitée..." Pensée du 10/11/14 Fumeuses Salutations. Aucunes raisons ne m'empêchait de recommencer à fumer. Ma santé? A quoi bon, je mourrai bien un jour et faire partir en fumée quelques années de ma vie ne m'attriste nullement. Je suis insensible à mon propre sort. Ne vous imaginez pas que je sois dépressive ou quoi que ce soit, mais c'est juste que n'ai aucune appréhension face à la mort et je préfère vivre tant que je peux, brisant les limites que l'on m'imposes et mourir jeune (si ça doit arriver) plutôt que "Fumer est un plaisir. Mon budget est serré; mon envie, illimitée..." Pensée du 10/11/14

Fumeuses Salutations.
Aucunes raisons ne m’empêchait de recommencer à fumer. Ma santé ? A quoi bon, je mourrai bien un jour et faire partir en fumée quelques années de ma vie ne m’attriste nullement. Je suis insensible à mon propre sort.
Ne vous imaginez pas que je sois dépressive ou quoi que ce soit, mais c’est juste que n’ai aucune appréhension face à la mort et je préfère vivre tant que je peux, brisant les limites que l’on m’imposes et mourir jeune (si ça doit arriver) plutôt que faire traîner ma fin, seule et désabusée, mendiant auprès des dieux pour quelques secondes de vie supplémentaires (et puis il faut savoir tirer sa révérence à temps).

Desperado était mon garde-fou, ma raison de vouloir respirer le plus longtemps possible. Mais à présent ? Je suis libre.

Libre depuis maintenant deux semaines. Deux semaines que j’ai recommencé à fumer.

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2014-11-14T19:47:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Procrastination-de-l-extreme Procrastination de l'extrême. Okay, je ne crois pas que mes devoirs vont se faire seuls, ... mais bon. Tardives Salutations à tous, Demain, je reprend le chemin de l'école (youpi. hallelujah. et tout et tout. Par pitié, sauvez-moi de la démence. Ça devient "un peu" lourd) et mes devoirs sont loin d'être finis... encore faudrait-il que je les ais débutés --' Je suis, en ce moment, incapable de travailler! Réellement. J'essais, mais mon cerveau est totalement absent. Aucunes données absorbées par cette paresseuse éponge n'en ressort traitées. J'ai beaux lire et relire mes énoncés, réfléchir comme je Okay, je ne crois pas que mes devoirs vont se faire seuls, ... mais bon.

Tardives Salutations à tous,

Demain, je reprend le chemin de l’école (youpi. hallelujah. et tout et tout. Par pitié, sauvez-moi de la démence. Ça devient "un peu" lourd) et mes devoirs sont loin d’être finis… encore faudrait-il que je les ais débutés --'
Je suis, en ce moment, incapable de travailler ! Réellement. J’essais, mais mon cerveau est totalement absent. Aucunes données absorbées par cette paresseuse éponge n’en ressort traitées. J’ai beaux lire et relire mes énoncés, réfléchir comme je peux, tenter une autre approche, tenter de me motiver, tenter de rendre ça passionnant, tenter de rendre ça amusant, mais rien n’y fait ! Je me retrouve toujours distraite par tout et n’importe quoi. Et puis je me dis toujours : "Bon ! Dans une minute, je m’y mets vraiment."

Finalement, je crois que je vais attendre ce soir pour faire mes 5 pages de commentaire sur Le Colonal Chabert de Balzac, et puis rendre un travail bâclé (je sais, c’est pas bien, mais chut). En même temps, désolé mais il n’y a rien de plus ennuyeux que Balzac ! Excusez-moi, fans invétérés du tout puissant Honoré de Balzac, mais je n’accroche décidément pas à son style. Pas assez de rythme, ni même de poésie, ou de réelle histoire pour moi. Mais cela, c’est mon avis, ne me tuez pas ;).

Sur ce, je vais me laissez mourir au fond d’un caniveau en espérant succomber au blessures que m’inflige la vie et ainsi ne pas avoir à supporter l’échec qu’elle se trouve être.

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2014-11-02T15:31:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Sometimes-I-just-go-away Sometimes I just go away. Le fantasme. Le fantasme. Vous vous foutez de ma gueule? Bitch? Comment un nom aussi connoté à la sexualité féminine peut-il être masculin ? Fuck --' Bref, Torrides Salutation à toutes (et tous ;) ). Mon copain (l'amour de ma vie *air niais, petit oiseaux bleus qui chantent et tout le tralalalala* --') ne donne aucun signe de vie... Par contre, je sais (merci FB) qu'il a bien apprécié son dîner au restaurant avec sa famille, que son entrecôte était délicieuse et qu'il a battu son record à un jeu FB dernièrement... Donc... il a du temps à perdre sur FB a poster des Le fantasme. Le fantasme.
Vous vous foutez de ma gueule ? Bitch ? Comment un nom aussi connoté à la sexualité féminine peut-il être masculin ? Fuck --'

Bref, Torrides Salutation à toutes (et tous ;) ).

Mon copain (l’amour de ma vie *air niais, petit oiseaux bleus qui chantent et tout le tralalalala* --') ne donne aucun signe de vie… Par contre, je sais (merci FB) qu’il a bien apprécié son dîner au restaurant avec sa famille, que son entrecôte était délicieuse et qu’il a battu son record à un jeu FB dernièrement… Donc… il a du temps à perdre sur FB a poster des photos de sa bouffe (alors que monsieur me demande, gentiment bien sûr, de ralentir sur la nourriture pour forcer sur le sport. Excuses-moi babe, je fais du S/XS ! Et au contraire j’aimerai bien grossir un peu, j’ai déjà frôler l’anorexie ça va comme ça.) par contre il n’a même pas 1 minutes le soir avant de s’endormir pour m’envoyer un petit message, ou même un petit smiley, rien. *Rage*
Donc, je me retrouve seule, vraiment très seule. Avec mes sulfureuses pensées (naughty girl ;) vas-y, fais-moi mal, j’aime ça).

C’est fou tout ce qui peut me passer par la tête quand il n’est pas là et que l'envie me prend.
Je me sens délaissée… Il me délaisse… Okay ! Autant le tromper alors, mais par pensé c’est plus drôle (et satisfaisant aussi par ailleurs).
Finalement, se laissez aller au songes est beaucoup plus plaisant que n’importe quelle réalité. La réalité a tendance à me décevoir, mon partenaire n’est jamais en accord avec moi, tout ne se passe jamais comme je le voudrais, et il faut toujours que je me retrouve sur ma faim ! Alors que le soir dans mon lit, alors que le silence règne en maître dans ma nuit solitaire… tout est possible. Tout devient possible une fois endormie.

Bonne nuit à tous.
Dormez bien.
Rêvez bien. ;)
J’en m’en vais vers d’autre cieux rejoindre mon amant irlandais (et imaginaire :'( ) qui m’attend, patiemment, allongé dans l’herbe verte de la plaine…

P.S. = "Penses à moi quand tu jouis" ;) (cf : Good Morning England Film que j’ai adoré dernièrement)

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2014-10-28T12:01:00+01:00
https://olderdarkfantasy.journalintime.com/Lundi-27-10-2014-Et-puis-y-a-ce-moment-ou-y-a-plus-personne Lundi 27/10/2014 Et puis y'a ce moment ou y'a plus personne... Fumeuses salutations... J'plaisante ! XD Malheureusement, j'ai arrêté de fumer il y a maintenant 1 mois. *applaudissement* --' (Ne me jugez pas, c'est de l'ironie). Voyons voir... Ce sont les vacances (vivre à la Réunion ça a des bons côtés), soit deux petites semaines tranquilles sans le lycée, sachant que mes amis et moi on parlait de sortir un peu durant ce laps de temps... SAUF QUE: - mon copain (Pour qui j'ai arrêté de fumer alors que je fumais depuis 1 an, l'amour de ma vie --', celui que j'aime plus que tout, à qui j'ai offert mon corps et que j'ai plutôt envie de tuer

Fumeuses salutations… J’plaisante ! XD Malheureusement, j’ai arrêté de fumer il y a maintenant 1 mois. *applaudissement* --' (Ne me jugez pas, c’est de l’ironie).

Voyons voir… Ce sont les vacances (vivre à la Réunion ça a des bons côtés), soit deux petites semaines tranquilles sans le lycée, sachant que mes amis et moi on parlait de sortir un peu durant ce laps de temps… SAUF QUE :

- mon copain (Pour qui j’ai arrêté de fumer alors que je fumais depuis 1 an, l’amour de ma vie --', celui que j’aime plus que tout, à qui j’ai offert mon corps et que j’ai plutôt envie de tuer serrer bien fort dans mes bras en ce moment) semble ne pas vouloir donner de signe de vie… Il m’ignore complètement. Non pas que je sois avare d’attention mais tout de même, 10 jours sans donner de nouvelles et sans chercher à en avoir de moi… c’est inquiétant pour la santé de notre couple. Je commence à me dire qu’il n’en a "rien à foutre" de moi. Surtout qu’on vient de fêter notre premier mois ensemble. Je sais, c’est pas énorme, mais c’est tout de même la plus longue relation que j’ai eut à ce jour… et ça veut dire beaucoup pour moi (je ne suis jamais restée bien longtemps avec une même personne, j’ai tendance à me lasser, rapidement, et c’est comme ça avec tout), peut-être pas autant que pour lui. Il ne semble pas s’en rendre compte mais il a beaucoup d’importance pour moi et je l’aime réellement plus que tout (en dépit des apparences) et j’ai tenté de le lui faire comprendre dans notre intimité (je ne suis pas très démonstrative) mais voilà…
Pourtant je fais des efforts, vraiment. J’ai tenté d’entrer dans son monde et de le faire pénétrer dans le mien… Mais s’il semble m’ouvrir en grand les portes de son univers, l’idée d’entrer plus profondément dans le mien et de me découvrir en détail ne lui ait pas encore passé par l’esprit. Il paraît que mes pensées effraient la populace…
Il ne connaît de moi que les grandes lignes, la surface,... Et pourtant moi je ne demande qu’à ce qu’il me connaisse réellement.

- mes plans pour Halloween viennent de tomber à l’eau, et ça, ça ! ça me met vraiment en rogne (mais je rage en silence). Voyez-vous, Halloween pour moi, c’est un peu Noël :) . Je n’ai jamais vraiment aimé Noël. Mais Halloween *-* pour moi ça a toujours était MaGiQuE *.* Toute l’idée que ça inspire, l’histoire construite autour, l’esthétique de cette fête, la nuit qui règne en maître,... Et les costumes ! ! :D J’ai toujours adoré me déguiser, devenir quelqu’un d’autre l’espace d’une nuit (rien d’étonnant à ce que je me sois tournée vers le théâtre une fois ado). Par pitié, épargnez-moi les clichés tels que : "Tu cherches à être quelqu’un d’autre parce que tu n’as pas beaucoup d’estime pour toi-même", etc. Je sais que les psy du dimanche auront beaucoup à dire sur mon cas mais si c’était SI facile je n’aurais pas besoin d’aide pour m’en sortir avec moi-même. Mais passons… J’avais TOUT préparé pour vendredi : Alex DeLarge (cf : Orange Mécanique) était sur le point de reprendre vie et j’avais déjà acheté ma place de ciné pour l’avant-première d'Annabelle (place très prisée et chère et qui s’est écoulée TRES rapidement). Cette soirée ciné c’est BIEN plus que juste un film… c’est deux films d’horreur à la suite, avec distribution de bonbons à gogo et de cadeaux super méga extra, avec en bonus PLEINS d’extra :D (ce mot : ~extra~*-* risque de revenir souvent) mais une amie avec qui je devait y aller m’a en quelque sorte forcé à vendre ma place à une de ses amies… En gros, elle veut plus y aller avec moi mais y’a plus de place pour sa copine, donc c’est à moi de passer devant cette occaz' --' *hate humanity, Be a Kiwi* Donc je me retrouve coincée chez moi, alone, pour ma fête favorite que j’attend tout les ans avec impatience.

- mes amis qui semblent s’apercevoir que ça va pas fort pour moi… me laisse couler,... tranquille… Effectivement, disons que je ne vais pas très bien en ce moment. Mais ça se comprend non ? Au lieu d’être là pour moi comme j’ai toujours été là pour eux, ils préfèrent me laisser seule dans ma solitude, ma dépression et ma solitude. MERCI !

DONC ! Encore une fois je me retrouve seule face à moi-même et c’est pas beau à voir. Donc j’écoute des nightcore de musique celtiques/folkloriques tout en rêvant de m’enfuir de ce monde qui m’oppresse et me fait creuser ma tombe… normal. En fait, très peu (très TRES peu) de gens le savent mais je suis fan de musique celtique :3 Chuutt ! C’est un secret ;)

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2014-10-27T19:23:00+01:00